- A Lyon, «des affrontements ont opposé les forces de l'ordre à plusieurs centaines de manifestants
- Dans le Nord, 25 voitures et des poubelles ont été brûlés. Des abribus ont aussi été détruits et des vitrines de commerces saccagées.
IDENTITE CHRETIENNE FRANCAISE - ICF
IDENTITE CHRETIENNE EUROPEENNE - ICE
La question de l’identité nationale est lié à celle de notre identité chrétienne et fait l’objet de grands débats publics en raison principalement des flux migratoires et à l’accueil sur notre territoire de familles déracinées qui ont d’autres référents culturels et religieux (l’Islam). Ces référents ne sont pas les nôtres, et sous couvert d'humanisme béant, nous ne pouvons admettre que ceux-ci supplantent les nôtres. Face à des médias aux ordres et des gouvernements complaisants dans cet mise à mort de notre identité, nous appelons ceux qui souhaitent participer à une nouvelle organisation de défense des valeurs issues du Christianisme français et européen à prendre contact avec nous à l'adresse que vous trouverez ci dessous.
Cette question de l’identité se résume, selons nous, à l’échelle collective et à l’échelle
individuelle, en trois interrogations :
- D’où je viens ? Quelles sont mes racines, mes origines ?
- Dans un monde mobile, « liquide », qu’est-ce qui est sûr, inoxydable ?
- Où je vais ? Quel est le but de la vie ? Quel est l’avenir de notre société ?
Des préalables pour la Future Identité Chrétienne Française (ICF) :
- La défense du respect de la Religion Chrétienne et de sa morale, par delà les diverses chapelles : catholiques, protestants et orthodoxes, voir d'autres chrétiens y seront admis.
- Rejet du capitalisme matérialiste dont la pire expression, la mondialisation remet en cause la cohésion et le bonheur du peuple Chrétien, français et européen. Pour un christianisme enfin social et patriotique.
- Le combat pour la défense des racines chrétiennes de la France et de l'Europe.
L'initiative présente fera l'objet de mises à jour régulière sur le blog en fonction de vos participations. Pour participer à cette initiative Chrétienne, sociale et patriotique, merci de nous contacter à : identitechretienne999@gmail.com
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L'ouvrage Mariage pour Tous est égal Manipulation pour Tous revient sur le long débat qui agita entre l'automne 2012 et le printemps 2013 la société française sur le projet qui aboutit finalement au mariage homosexuel. Il s'agit là d'un livre militant, sans aucune complaisance pour les manipulateurs agissant avec leurs complices ultra minoritaires du lobby LGBT dans une incroyable entreprise d'humiliation de millions de personnes qui manifestèrent contre cette loi inique...
Les auteurs de ce pamphlet, car c'en est un, sous le pseudonyme de Wolf Patriotic entendent lutter contre l'oubli de ces mois de luttes intenses car ce qui est à craindre est bien le syndrome du PACS, une lutte qui s'oubliera d'elle même et qui permettra à ceux qui veulent détruire la famille de progresser encore vers de nouvelles étapes : ils affûtent déjà leurs armes et leurs futurs projets : GPA et PMA, motivés qu'ils doivent être par leur dernière victoire sociétale
Pour infos commande fetesetpatrimoneal@laposte.net
Depuis l’arrivée au pouvoir de François Hollande, en Mai 2012, nous avons pu constater une aggravation des violations des libertés d’expression et de manifestation d’une ampleur tout à fait inquiétante. Ce sera l’objet des articles de cette catégorie, mené en collaboration avec les principaux acteurs, je devrai plutôt dire victimes de cet état de fait. Ceux-ci viendront nous expliquer de manière plus objective comment ils furent confrontés à cette nouvelle donne périlleuse pour notre démocratie.
Nous avons été particulièrement interpellé par le fait que tout contestataire à la nouvelle « morale socialiste » se voit devenir publiquement illégitime, frappé d’un sceau infâmant qui peut, tour à tour, être celui de « raciste », de « fasciste », de « nazi » ou d’ « homophobe ». Mais devant le Tribunal de la Dictature Socialiste, il n’y a jamais de pire accusation que celle faisant de vous une composante de « l’extrême-droite ».
Cet état d’esprit n’a pas été créé par le gouvernement Hollande, il fut en son temps créé par son prédécesseur socialiste François Mitterrand et végète depuis, à l’état de germe dans l’étatisme français. Renaissant de ses cendres en 2012, cet esprit malfaisant pris dès lors une ampleur inédite, en raison du sectarisme des ministres Christiane Taubira, Najat Vallaud-Belkacem et consorts sous la baguette du chef d’orchestre en sectarisme, François Hollande. Je ne peux qu’à nouveau évoquer l’esprit totalitaire de Madame Taubira pour faire taire les très nombreux opposants au mariage gay, sous couvert de « l’Etat de Droit » qui se révéla dès lors un allié efficace lors des plus basses manœuvres de la Dictature Socialiste. Pourtant, l’expression « Etat de droit » ne signifie-t’elle pas que l’Etat lui-même et ceux qui font les lois soient également soumis à des règles encadrant leur propre arbitraire ?
Connaissant les horreurs des totalitarismes du XXème siècle, j'avais quelques scrupules au début à employer ce terme très fort pour dénoncer les pratiques liberticides en vogue depuis près de deux années mais les pratiques constatées sont bien de natures identiques (quoique peut être moins intenses) qu’il faille les dénoncer publiquement pour que le peuple en prenne conscience et qu’elle cessent au plus vite. La paranoïa est un des premiers symptômes que l’on puisse diagnostiquer de cette gangrène socialiste : jamais de mémoire de flâneur parisien, on aura vu autant de cars de CRS autour de l'Elysée et du Palais Bourbon. Le syndrome de la tour d’ivoire d’un pouvoir de plus en plus aux abois, rejeté par une frange très importante de la population qui n’est plus dupe de son incapacité à trouver des solutions à ses malheurs.
Une autre des caractéristiques de la Dictature est ce qu’on pourrait appeler la justice aux ordres. Cet inacceptable deux poids, deux mesures. L'injustice permanente. Nous reviendrons bien entendu au fil de ces pages sur le traitement très particulier du point de vue judiciaire des cas Estéban Morillo, Dieudonné ou des mouvements nationalistes injustement dissous, pour nous dire que décidément notre Patrie Aimée n’est plus tout à fait celle des droits de l’Homme.
Enfin, le harcèlement des opposants est une des techniques largement éprouvé des assassins de la Liberté, on verra avec de nombreux exemples que le Pouvoir actuel en use et en abuse.
François Hollande et le Parti Socialiste peuvent sans retenue nommer tous les fonctionnaires d’État : préfets, officiers généraux, recteurs d’académie, magistrats après avis du Conseil supérieur de la Magistrature qui est à leur solde.
L’Éducation Nationale leur permet de manière autoritaire de contrôler l’éducation et de la pensée de nos enfants de façon orientée comme le démontre l’enseignement programmé dans les établissements scolaires de la théorie du genre. Scandaleux !
Le Parti socialiste, avec ses amis écologistes et communistes, dispose de la majorité absolue à l’Assemblée nationale et au Sénat. Le pouvoir judiciaire est gauchisé de manière très forte par le Syndicat de la Magistrature.
Mieux vaut se présenter devant la Justice en tant que Femen ayant saccagé une Eglise ou en tant qu’Antifasciste ayant détruit une vitrine qu’en tant que manifestant pacifiste de la Manif pour Tous. Allez comprendre !
Les journalistes sont très majoritairement de gauche, leur assurant une main mise intéressante sur le pouvoir médiatique.
Les organisations syndicales, patronales ou de salariés, gèrent en partenariat avec l’État une partie importante de l’activité de notre pays. Ainsi ont-elles abandonnées, au passage, la fonction de contre-pouvoirs qu’elles avaient pu un temps exercer.
Pour que le tableau soit complet, parlons aussi des nouveaux auxiliaires de l’Etat socialiste les associations antiracistes et de lutte contre l’homophobie fantasmée qui ne vivent que grâce aux deniers publics et à ce que leur rapportent leurs harcèlements judiciaires des mal pensants.
Nous sommes véritablement en face d’un processus dictatorial paré cependant des habits juridiques de la démocratie. En est-il plus acceptable ? C’est là en somme toute la question de fond que cet ouvrage entend poser au lecteur attentif et soucieux du respect de nos libertés fondamentales.
Observatoire des Conspirations est de retour pour dénoncer toutes ces dérives !
Le MES (Mécanisme européen de stabilité) sensé sauver l'Europe de la crise va nous asservir pour toujours à l'austérité qui va ainsi devenir notre seule horizon. Ses principes de fonctionnement supposent un asservissement encore plus grand des démocraties aux lois iniques des marchés financiers. Et sa mise en place va entraîner pour longtemps une politique de régression sociale et de perte progressive de nos droits. Les peuples vont trinquer
Le MES permet aux Etats européens, trop endettés pour avoir accès aux marchés financiers, de continuer à emprunter. Ainsi, ces pays pourront s’adresser au MES pour financer leurs investissements. Abondé par l’ensemble des Etats de la zone euro, en fonction du niveau de leur PIB, il se présente comme un outil de mutualisation et de solidarité. L’Allemagne et la France y versent plus que la Belgique ou la Grèce par exemple.
Pour constituer le capital du MES, les Etats vont devoir emprunter à nouveau sur les marchés financiers et continuer à devenir leurs esclaves. Car ce mécanisme européen de stabilité ne remet pas en cause le principe absurde, inscrit dans le traité de Lisbonne, qui interdit aux Etats membres d’emprunter auprès de leur propre Banque, la Banque centrale européenne (BCE). Alors que les banques privées, elles, empruntent à 1% auprès de la BCE puis prêtent aux Etats à un taux nettement supérieur. La France, par exemple, qui emprunte actuellement à un peu plus de 3% va donc devoir s’endetter encore plus. Celà est parfaitement intolérable
Il faut remettre en cause ce principe qui consiste à contraindre les Etats à n’emprunter qu’auprès des banques privées qui, elles, « s’approvisionnent » directement auprès de la BCE (comme le font les Etats-Unis et le Royaume-Uni auprès de leur propre banque centrale) ? Essentiellement pour ne pas « désespérer » les marchés financiers, restructurer les conditions d’accumulation du capital et justifier les politiques de modérations salariales et de déconstruction du code du travail nécessaires à assurer la compétitivité de notre économie dans un contexte de concurrence mondialisée.
L'avenir qu'on nous promet. A partir du 1er mars 2013, l’octroi d’une aide financière du MES aux Etats sera conditionné par la ratification d’un nouveau traité : le TSCG (Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance). En adoptant ce traité conditionnant les aides, les Etats s’engagent – sous peine de fortes pénalités – à adopter une discipline budgétaire leur interdisant un déficit public supérieur à 3% de leur produit intérieur brut (PIB). Et ils devront inscrire cette « règle d’or », comme on l’appelle aussi, dans leur Constitution.
Ainsi on voit qu’adoptant ce MES, les dirigeants européens saisissent le prétexte de la rigueur budgétaire pour réduire les dépenses de solidarité, de santé, d’éducation et abandonner toute idée de régulation de l’économie et de transition écologique.
Le MES ne va faire que renforcer l’avidité et l’aveuglement des marchés financiers dérégulés qui spéculent sur les dettes publiques. A quand un réveil du peuple face à ces RAPACES !
Une polémique a récemment éclaté à la suite d’une déclaration du ministre de l’Intérieur qui a affirmé que toutes les civilisations ne se valaient pas.
Un député de gauche a ensuite répondu que ce genre de discours lui rappelait les théories nazies. Cette réaction a le mérite de révéler une mentalité prisonnière des années 30 et 40. Dès qu’une idée déplaît à la gauche, elle fait un amalgame avec le discours national-socialiste. Cette posture reprend la propagande communiste déversée à partir de 1941 après l’invasion de l’Union soviétique par Hitler. Les communistes et les mouvements de gauche se sont présentés comme les champions de la lutte contre le fascisme. Cette affirmation était déjà sujette à discussion durant la seconde guerre mondiale. En effet, les communistes étaient alliés avec l’Allemagne nazie avant 1941 (pacte germano-soviétique). De plus, d’autres forces politiques avaient commencé la lutte contre l’Allemagne nazie avant 1941 (les gaullistes en France par exemple). Mais aujourd’hui, cette posture est devenue grotesque. Elle permet seulement aux gauchistes de faire la morale à leurs opposants politiques et de les inciter à se taire.
Une nouvelle Inquisition est à l’œuvre : les « hérétiques » sont victimes de procès instruits par les bonnes consciences de gauche. Le but est d’instaurer un ordre moral où règne en maître le politiquement correct. Les gauchistes souhaiteraient construire à leur profit une société qui rappelle les temps moyenâgeux avec des condamnations publiques et des ouvrages mis à l’index. L’exemple de l’historien Sylvain Gouguenheim (1) est édifiant. Dans son livre « Aristote au Mont Saint-Michel », l’auteur démontre que l’islam n’a pas été le seul pourvoyeur des ouvrages de l’Antiquité. Des livres de philosophes grecs étaient conservés dans certains monastères de l’Europe médiévale, et notamment au Mont Saint-Michel. De plus, il faut avoir à l’esprit que l’empire byzantin est en fait l’empire romain d’Orient, celui-ci ayant survécu près de mille ans à la chute de l’empire romain d’Occident (476-1453). Les Byzantins n’avaient pas oublié les auteurs grecs et latins. Les commentateurs musulmans d’Aristote ont exercé une influence sur l’Occident. Mais les Occidentaux n’avaient pas besoin des musulmans pour connaître Aristote. Cette thèse a soulevé l’indignation d’historiens de gauche.
Unepétition a été signée pour dénoncer l’islamophobie latente de cette thèse. Elle remet en effet en cause la théorie selon laquelle l’Occident doit son développement intellectuel aux traductions des livres d’Aristote par les musulmans. Toutefois, ce sont justement ceux qui soutiennent que l’Occident était un désert culturel avant l’apport des traductions musulmanes qui le rabaisse exagérément. Mais pourquoi faut-il absolument que l’Occident soit au même niveau que l’islam ?
C’est une condition nécessaire pour que l’utopie qui fait rêver les « bien-pensants » puisse se réaliser. Il s’agit de construire une société multiculturelle et multiraciale. Dans cette société, des communautés doivent cohabiter pacifiquement. Il faut donc éviter tous les sujets qui peuvent heurter les susceptibilités des uns ou des autres. Aucune communauté ne doit se sentir supérieure à l’autre afin de permettre une cohabitation harmonieuse. Faites l’amour, pas la guerre ! Ce slogan condense les idées des hippies qui bêlaient des messages de paix et d’amour dans les années 60 et 70. Mais à l’époque, les hippies avaient conscience d’incarner une contre-culture minoritaire. Aujourd’hui, cette sous-culture prétend devenir la norme. Mais le prix à payer est énorme. Certains sujets deviennent tabous. Il est interdit de critiquer certaines religions ; ce qui constitue une régression considérable. Si on laisse faire, la libre expression et le fonctionnement normal de la démocratie seraient remis en cause. L’autocensure morale deviendrait la règle. Tout ce qui dépasse devrait être rabaissé. Par exemple, la civilisation occidentale devrait se repentir de ses conquêtes coloniales.
Les Nations, leurs culture, leurs traditions, leurs racines, leurs frontières n’ont pas leur place dans cette utopie. C’est le retour vers le passé mais sans les guerres tribales.
Je crois que cette doxa post-soixante-huitarde est une insulte à l’intelligence. Le politiquement correct est parfaitement décadent. C’est une pensée dégénérée mise au service d’une croyance utopique. Elle explique le spectacle pitoyable auquel nous assistons : des intellectuels décadents qui rabaissent leur propre civilisation. Il faut résister à ces inquisiteurs autoproclamés. Dans une démocratie, l’esprit critique doit être préservé et on doit avoir le droit de critiquer la civilisation musulmane comme n’importe quelle autre civilisation !
Texte de JL TARI
Une conférence intitulée «Processus d'Istanbul» vise à faire adopter en droit international la diffamation des religions.
- On sait ce qui va se passer si ce programme est adopté : il n'y aura aucune réciprocité ; la liberté d'expression va reculer en Occident ; la répression des minorités et des esprits libres va s'accroître dans les pays musulmans ; et l'intolérance religieuse, loin de diminuer, va aller en augmentant.
- La Commission Européenne fer de lance de la tentative islamique de criminaliser la liberté d'expression
- L'Union européenne a proposé d'accueillir la prochaine réunion du Processus dit d'Istanbul, une tentative agressive des pays musulmans de faire de la critique de l'islam un crime international.
- L'annonce intervient moins d'un mois après que les États-Unis aient organisé leur propre Conférence du Processus d'Istanbul à Washington.
- Le Processus d'Istanbul - son but explicite est d'inscrire dans le droit international une interdiction mondiale de tout examen critique de l'islam et/ou de la charia islamique - est dirigé par l'Organisation de la coopération islamique (OCI), un bloc de 57 pays musulmans. Basée en Arabie saoudite, l'OCI a longtemps fait pression sur l'Union européenne et les États-Unis pour imposer des limites à la liberté de parole et d'expression sur l'Islam.
- Mais maintenant l'OCI redouble d'efforts et elle s'est engagée dans une offensive diplomatique décisive pour convaincre les démocraties occidentales de mettre en ouvre au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies (CDH) la Résolution 16/18 qui appelle tous les pays à lutter contre « l'intolérance, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation de. la religion et de la croyance ». (On peut trouver ici et ici des analyses sur la guerre de l'OCI contre la liberté d'expression).
- La Résolution 16/18, qui a été adoptée au siège du CDH à Genève en mars 2011, est largement considérée comme une avancée significative dans les efforts de l'OCI pour faire progresser le concept juridique international de diffamation de l'islam.
-Toutefois, la résolution du CDH - ainsi que la résolution 66/167 parrainée par l'OCI qui a été discrètement approuvée à l'Assemblée générale du 19 décembre 2011 par les 193 membres des Nations Unies - reste sans effet tant qu'elle manque du soutien solide de l'occident.
- L'OCI a donc réussi un coup diplomatique lorsque l'administration Obama a accepté d'accueillir à Washington du 12 au 14 décembre 2011 une conférence de trois jours du Processus d'Istanbul. Ce faisant, les États-Unis ont donné à l'OCI la légitimité politique qu'elle cherchait pour mondialiser son initiative visant à interdire la critique de l'islam.
- L'enquête de l'IINA se poursuit : « Les fonctionnaires du Département des affaires culturelles de l'OCI ont déclaré que la proposition de l'Union européenne d'accueillir la troisième réunion (la première se tenait à Istanbul en juillet et la seconde à Washington en décembre) est considérée comme une nouvelle possibilité prometteuse de résoudre ce problème. En organisant la réunion en Europe qui est plus touchée par le phénomène de l'islamophobie et de l'hostilité envers l'islam, le « Processus d'Istanbul » prendra un élan supplémentaire. »
- L'OCI est particulièrement irritée par son incapacité à faire taire le nombre croissant d'hommes politiques démocratiquement élus en Europe qui ont exprimé leurs inquiétudes sur le refus des immigrés musulmans de s'intégrer dans leur pays d'accueil et la création qui s'ensuit de sociétés islamiques parallèles dans de nombreuses parties de l'Europe.
- Selon l'IINA, « M. Ihsanoglu » a déclaré « que le rôle croissant en politique de l'extrême droite dans plusieurs pays européens est devenu plus fort que la capacité de l'Organisation (OCI) à expliquer que l'extrême droite, qui (sic) déteste les musulmans, est devenue un levier dans les mains des hommes politiques. Il a ajouté que la montée de l'extrême droite par des élections est devenue une question qu'on ne peut pas contrecarrer compte tenu de la façon démocratique dont ces extrémistes accèdent à leur fonction. Il a souligné le référendum organisé en Suisse comme exemple qui a entraîné là-bas la suspension de la construction de minarets à la suite d'un vote des Suisses. »
- En d'autres termes, l'OCI est maintenant à la recherche de soutiens de fonctionnaires non-élus au siège de l'Union européenne à Bruxelles pour promulguer une législation paneuropéenne du discours de haine pour limiter par décret ce que 500 millions de citoyens européens - y compris les hommes politiques démocratiquement élus - peuvent et ne peuvent pas dire à propos de l'islam.
- Il est certain que de nombreux pays européens qui sont dépourvus des protections du Premier Amendement comme aux États-Unis ont déjà promulgué des lois contre les discours haineux qui servent effectivement de procurations pour la législation universelle du blasphème que l'OCI cherche à imposer à l'Union européenne dans son ensemble.
- En Autriche par exemple, une cour d'appel a confirmé en décembre 2011 la condamnation politiquement correcte d'Élisabeth Sabaditsch-Wolff, femme au foyer viennoise et militante anti-djihad, pour « dénigrement des croyances religieuses » après qu'elle eut donné une série de séminaires sur les dangers de l'islam radical. La décision a montré que si le judaïsme et le christianisme peuvent, dans l'Autriche postmoderne multiculturelle, être dénigrés en toute impunité, dire la vérité sur l'islam est soumis à des sanctions juridiques rapides et lourdes.
- En Autriche également, Susanne Winter, une femme politique autrichienne membre du Parlement, a été condamné en janvier 2009 pour le « crime » de dire que « dans le système actuel » le prophète islamique Mahomet serait considéré comme « pédophile », en référence à son mariage avec Aïcha. Winter a été également reconnue coupable de « provocation » pour avoir dit que l'Autriche était confrontée à un « tsunami d'immigration islamique ». Winter a été condamnée à payer une amende de € 24.000 (31.000 $), et à une peine de prison avec sursis de trois mois.
- Au Danemark, Lars Hedegaard, le président de la Société Free Press International, a été reconnu coupable en mai 2011 par un tribunal danois, de « discours de haine » pour avoir dit dans une interview enregistrée qu'il y avait une forte incidence des viols d'enfants et de violence domestique dans les zones où domine la culture musulmane.
- Les commentaires de Hedegaard, qui a attiré l'attention sur les conditions de vie horrible de millions de femmes musulmanes, a violé l'article 266b tristement célèbre du code pénal du Danemark, une disposition fourre-tout que les élites danoises utilisent pour faire respecter les codes du discours politiquement correct. Hedegaard a fait appel de sa condamnation devant la Cour suprême danoise, où l'affaire est actuellement en instance.
- Également au Danemark, Jesper Langballe, un politicien danois membre du Parlement, a été reconnu coupable d'incitation à la haine en décembre 2010 pour avoir dit que les crimes d'honneur et les abus sexuels se produisent dans des familles musulmanes.
- La possibilité de prouver ses affirmations a été refusée à Langballe car en vertu du droit danois, peu importe de savoir si un énoncé est vrai ou faux. Tout ce qu'il faut pour une condamnation c'est que quelqu'un se sente offensé. Langballe a été immédiatement condamné à payer une amende de 5000 couronnes danoises (850 $) ou à dix jours de prison.
- En Finlande, Jussi Halla-aho Kristian, un homme politique et commentateur bien connu, a été traduit en justice en mars 2009 sur les accusations de « provocation contre un groupe ethnique » et de « violation du caractère sacré de la religion » pour avoir dit que l'islam est une la religion de la pédophilie. Un tribunal d'Helsinki a ensuite abandonné l'accusation de blasphème mais a donné l'ordre à Halla-aho de payer une amende de 330 € (450 $) pour avoir semé le trouble sur un culte religieux. Outré par le rejet des accusations de blasphème par la Cour, le procureur public finlandais a fait appel devant la Cour suprême finlandaise où l'affaire est maintenant en cours de révision.
- En France, le romancier Michel Houellebecq a été poursuivi en justice par les autorités islamiques des villes françaises de Paris et de Lyon pour avoir appelé l'islam « la religion la plus stupide » et pour avoir dit que le Coran est « mal écrit ». Au tribunal, Houellebecq (se prononce Wellbeck) a dit aux juges que bien qu'il n'avait jamais méprisé les musulmans, il n'avait que mépris pour l'Islam. Il a été acquitté en octobre 2002.
- Toujours en France, Brigitte Bardot, la célèbre actrice qui s'est lancée dans la croisade pour les droits des animaux, a été condamné en juin 2008 pour « incitation à la haine raciale » après avoir exigé que les musulmans anesthésient les animaux avant de les abattre.
- En Belgique, Aldo Mungo fait l'objet d'une plainte par un office dépendant du premier ministre pour avoir diffusé un diaporama mettant en relation l'abattage Halal, la perception de la dîme islamique par des organisations liées aux Frères musulmans et le financement de mouvements terroristes comme le Hamas par ces mêmes Frères musulmans.
- Aux Pays-Bas, Geert Wilders - chef du Parti hollandais de la liberté qui avait dénoncé la menace soulevée par les immigrés musulmans non assimilés pesant sur les valeurs occidentales - a récemment été acquitté des cinq accusations d'incitation à la haine religieuse contre les musulmans pour les commentaires critiques de l'islam qu'il a faits. Le verdict historique a mis fin à une odyssée juridique de deux ans hautement médiatisée.
- Également aux Pays-Bas, Gregorius Nekschot, pseudonyme d'un dessinateur hollandais opposant déclaré à l'excision islamique des femmes et se moquant souvent du multiculturalisme néerlandais, a été arrêté à son domicile à Amsterdam en mai 2008 pour avoir dessiné des caricatures jugées offensantes pour les musulmans. Nekschot (qui signifie littéralement « balle dans le cou », méthode utilisée selon le dessinateur, par « les fascistes et les communistes pour se débarrasser de leurs adversaires ») a été libéré après 30 heures d'interrogatoire par les représentants de la loi hollandaise.
- Nekschot a été inculpé pour huit caricatures qui « attribuent des qualités négatives à certains groupes de personnes » et comme telles sont insultantes et constituent des crimes de discrimination et de haine, conformément aux articles 137c et 137d du Code pénal néerlandais.
- Dans une interview au quotidien néerlandais De Volkskrant, Nekschot a dit que c'était la première fois en 800 ans d'histoire de la satire aux Pays-Bas qu'un artiste était mis en prison. (Depuis cette interview a été retirée du site internet du journal). Bien que l'affaire contre Nekschot ait été rejetée en septembre 2010, il a mis fin à sa carrière de caricaturiste le 31 décembre 2011.
- En Italie, la regrettée Oriana Fallaci, journaliste et auteur, a été traduite en justice pour avoir écrit que l'islam « apporte la haine, au lieu de l'amour et l'esclavage au lieu de la liberté ». En novembre 2002, un juge en Suisse, agissant sur un procès intenté par le Centre islamique de Genève, a émis un mandat d'arrêt contre Fallaci pour violation de l'article 261 du code pénal suisse ; le juge a demandé au gouvernement italien soit d'intenter des poursuites soit de l'extrader. Le ministère de la Justice italien a rejeté cette demande au motif que la Constitution italienne protège la liberté d'expression.
- Mais en mai 2005, l'Union des communautés islamiques en Italie (UCOII) liée aux Frères musulmans, a déposé une plainte contre Fallaci l'accusant que « certaines des choses qu'elle dit dans son livre 'La Force de la Raison' sont offensantes pour l'islam ». Un juge italien a ordonné un procès de Fallaci à Bergame sur les accusations de « diffamation de l'islam ». Fallaci est décédée d'un cancer en septembre 2006, quelques mois seulement après le début de son procès.
- Le "Processus d'Istanbul", un processus pervers
- Nina Shea rend compte de la conférence qui s'est déroulée à Washington avec l'OCI dans le but de mettre en ouvre des résolutions de l'ONU qui, sous prétexte de combattre «l'intolérance religieuse», menacent de conduire à la répression de toute critique de l'islam. La réunion de Washington a été planifiée à Istanbul en juillet dernier, d'où le nom «Processus d'Istanbul».
- Le processus a été dénoncé par des leaders musulmans d'Amérique du nord dans une déclaration dont Tarek Fatah est l'un des signataires.
- La Secrétaire d'Etat Hillary Clinton a clôturé mercredi 14 décembre le «Processus d'Istanbul», une conférence internationale de trois jours à huis clos sur les mesures de lutte contre «l'intolérance religieuse, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation», organisée par le Département d'Etat.
- La conférence avait pour but de «mettre en ouvre» la résolution 16/18 adoptée en mars dernier par le Conseil des droits de l'homme de l'Onu sur ce sujet. Cette conférence a été une folie, même si Clinton a défendu la liberté de religion et de parole dans son discours de clôture.
- La résolution 16/18 remplace le dangereux projet de pénalisation de la «diffamation des religions» dans le monde entier. La demande d'une loi universelle sur le blasphème a été poussée sans relâche pendant 12 ans par l'Organisation de coopération islamique basée en Arabie saoudite, un organisme essentiellement religieux mandaté pour «combattre la diffamation de l'islam». L'OCI émet des fatwas et d'autres directives pour punir l'expression publique de l'apostasie de l'islam ainsi que «l'islamophobie».
- Les leaders de cette campagne de l'OCI - l'Arabie saoudite, l'Iran, l'Egypte et le Pakistan - emprisonnent les «blasphémateurs» ou les condamnent à mort.
- La résolution 16/18 déplore l'intolérance religieuse ; toutefois, grâce à une manouvre habile du Département d'État, elle n'apporte pas de restriction à la liberté de parole. L'Administration aurait dû en rester là. Au lieu de cela, alors qu'elle co-présidait une «réunion de haut niveau» de l'OCI sur l'islamophobie à Istanbul en juillet, Mme Clinton a invité l'OCI à Washington pour discuter de la manière de «mettre en ouvre» la résolution 16/18. Même si la conférence de Washington s'est terminée sans véritable conclusion, elle n'aurait pas dû avoir lieu, pour les raisons suivantes :
- Elle a offert à l'OCI une plate-forme transnationale lui permettant de raviver son agenda contre la diffamation de la religion alors que cette question avait été enterrée à l'ONU. L'Administration a commis une erreur en pensant que la résolution 16/18 représentait une convergence de vues entre l'OCI et les USA sur la liberté de religion et de parole.
- A Istanbul, Mme Clinton a affirmé que les États-Unis ne veulent pas de restrictions à la liberté de parole. Toutefois, son annonce de la conférence a immédiatement relancé les demandes de l'OCI que l'Occident punisse les discours anti-islamiques. Comme le rapportait l'OCI : «Les réunions qui se tiendront prochainement [à Washington] . permettront l'adoption de lois nationales par les états concernés par ce problème, ainsi que la formulation de lois internationales visant à empêcher l'incitation à la haine résultant de la diffamation des religions».
- La conférence a injustement singularisé les États-Unis pour un examen critique.
- Lors de l'ouverture de la conférence, un avocat du gouvernement a présenté un portrait biaisé de l'historique du sectarisme contre les minorités religieuses, y compris les musulmans, sans expliquer notre succès relativement exemplaire en matière de respect des libertés individuelles de religion et de parole dans une société extraordinairement tolérante et pluraliste. Il a dit aux participants, dont certains représentaient les nations les plus répressives au monde, que l'Amérique pouvait tirer des enseignements de leur expérience de la protection de la tolérance religieuse.
- En restant «unis» (terme utilisé par le chef de l'OCI dans un article publié dans un quotidien turc), avec l'OCI sur ces questions, les États-Unis semblent valider l'agenda de l'OCI, ce qui démoralisera les innombrables défenseurs des droits des femmes et des droits humains, blogueurs, journalistes, minorités, convertis, réformateurs, et tous les autres dans les pays membres de l'OCI qui comptent sur le soutien des États-Unis contre l'oppression.
- La conférence suscite des attentes de réglementation du discours sur l'islam par les États-Unis comme l'ont fait l'Europe de l'ouest, le Canada et l'Australie.
- L'Union européenne a imposé l'adoption de normes sur le discours religieux haineux après l'éruption d'émeutes et d'autres violences dans le monde suivant la publication des caricatures de Mahomet dans un journal danois. La conférence intensifiera les pressions exercées sur les États-Unis pour qu'ils se conforment à ces nouvelles «meilleures pratiques» mondiales.
- Clinton a naïvement irrité les diplomates islamistes mercredi en disant : «Nous devons dépasser l'idée selon laquelle nous pouvons opprimer les minorités religieuses et restreindre la liberté de parole, et que nous sommes assez intelligents pour substituer notre jugement à celui de Dieu en déterminant qui a blasphémé ou pas ». Il est peu probable que l'establishment wahhabite saoudien se laisse persuader par de tels arguments d'«infidèles».
- Les diplomates américains devraient mettre fin au «Processus d'Istanbul» et commencer à promouvoir avec énergie et confiance les vertus de notre Premier amendement. Ils doivent être soigneusement informés de la position intransigeante de l'OCI sur lois sur le blasphème et l'ampleur des atrocités qui y sont associées. Ils doivent cesser d'envoyer les signaux d'un consensus sur ces questions entre l'OCI et nous
Geert Wilders interviewé par PI News le 21-01-2011
Face à l’accroissement de la dette publique et sous la pression des marchés financiers, les gouvernements des différents États mettent en œuvre des politiques d’austérité, sous forme de diminution des dépenses publiques et augmentation des recettes à travers la fiscalité. Les coupes budgétaires concernent la fonction publique avec le blocage ou la baisse du salaire et/ou des effectifs de fonctionnaires, les diminutions de services publics et de la protection sociale, la mise en œuvre de « réformes » des retraites et de l’assurance maladie. La tendance générale, en France comme ailleurs, est à la privatisation : l’objectif est de diminuer les pensions de retraite et les remboursements de soins de santé, et de présenter le recours aux assureurs privés comme l’inéluctable complément... pour ceux qui en auront les moyens.
Dans un certain nombre de pays, des baisses des salaires des fonctionnaires et des pensions ont été appliquées. En Grèce, les baisses de salaires atteignaient, en octobre 2011, entre 15 % et 40 % selon les sources (suppression des treizième et quatorzième mois et des primes). Les baisses de salaires sont également significatives dans des pays comme le Portugal (jusqu’à 27 %), la Roumanie (25 %), l’Espagne (15 %), l’Irlande (de 5 à 15 %), etc. Le Royaume-Uni connaît la plus forte baisse de pouvoir d’achat depuis trente-cinq ans avec un recul de 7 % en trois ans et une hausse de la pauvreté préoccupante, qui touche encore plus fortement les moins de quinze ans. En outre, le FMI et la BCE exigent de privatiser une bonne part de ce qui restait d’entreprises publiques, et de démanteler le code du travail : assouplissement des licenciements en Grèce et en Italie, suspension des conventions collectives au Portugal et en Italie, allongement de la durée légale du travail au Portugal.
Côté recettes fiscales, les hausses d’impôt pèsent essentiellement sur les revenus du travail, même si l’affichage gouvernemental prétend équilibrer avec la taxation du capital. Les quelques mesures augmentant l’impôt sur les revenus financiers ou les ménages les plus riches ne sont rien en comparaison de celles qui pèsent sur les moins aisés. L’augmentation de la TVA sur un certain nombre de biens pèsera par exemple beaucoup plus lourdement sur les budgets modestes. Le bouclier fiscal, particulièrement inique, a certes été supprimé : mais il rapportait 600 millions d’euros et en même temps, l’ISF a été baissé de près de 2 milliards ! Ces politiques épargnent donc les responsables que sont les grandes banques et la finance et font payer la crise aux salarié-es, retraité-es, chômeur-euses, catégories modestes.
Elles sont doublement injustes, car leurs effets sont aussi particulièrement négatifs sur les femmes : le secteur public étant composé majoritairement de femmes, ce sont elles les plus touchées par les mesures sur les salaires, comme par les réductions d’effectifs, qui se traduisent en réductions d’embauches. De même, en tant que responsables principales de la famille, les femmes sont les premières concernées par les coupes dans les services sociaux (gardes d’enfants, services d’aide aux personnes dépendantes), les baisses de prestations (aux familles, aux personnes dépendantes, les congés de maternité), les fermetures de maternités et de classes maternelles qui se multiplient. En ce qui concerne les retraites, les pensions des femmes sont déjà largement inférieures à celles des hommes, souvent insuffisantes, et les mesures appliquées ne font qu’aggraver cette situation.
La Commission européenne note en 2010 : « la paupérisation menace les retraités, et les femmes âgées constituent un des groupes les plus exposés au risque de pauvreté ». De l’art de promouvoir des réformes et en même temps d’en pointer les effets néfastes… En plus d’être socialement inacceptables, ces politiques sont incohérentes du point de vue économique. Alors que les pays ayant un plus fort niveau de protection sociale et de services publics ont mieux résisté à la récession et à la montée de la pauvreté liée à l’augmentation du chômage et du sous-emploi, ce sont précisément ces bases de l’État social qui sont ciblées par les restrictions budgétaires ! En plus, de telles politiques appliquées simultanément à de nombreux pays européens ne peuvent qu’entraîner une récession aggravée qui aboutira à abaisser encore les recettes fiscales. Les déficits publics augmenteront, à l’opposé de l’objectif visé.
Une autre conséquence importante est la confiscation de la démocratie des Etats membres de l"Europe au profit du nouveau dictateur européen comme le montre la vidéo suivante :
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